Les vergetures sont parmi les préoccupations esthétiques les plus répandues, touchant aussi bien les femmes que les hommes, à tout âge. Qu’il s’agisse de marques laissées par une grossesse, une prise de poids rapide ou une poussée de croissance à l’adolescence, ces stries visibles sur la peau peuvent altérer la confiance en soi et susciter une quête de solutions efficaces pour les atténuer.
Parmi les promesses récurrentes du marché des compléments alimentaires, une tendance se démarque : celle du collagène marin. Issu des poissons, ce collagène de type I est souvent mis en avant pour ses bienfaits sur l’élasticité et la fermeté de la peau. Mais peut-il réellement réduire les vergetures ? Est-ce un outil scientifiquement crédible ou simplement un nouvel effet de mode aux résultats incertains ?
Dans cet article, nous allons explorer les mécanismes des vergetures, les propriétés du collagène marin, et surtout ce que dit la science actuelle sur son efficacité. Vous découvrirez également les meilleures pratiques d’utilisation, les formes les plus intéressantes, ainsi qu’une FAQ pour répondre à toutes vos interrogations sur le sujet.
Alors, mythe ou réalité ? Plongeons dans les faits.
Que sont les vergetures et pourquoi apparaissent-elles ?
Les vergetures, ou striae distensae en termes médicaux, sont des marques cutanées qui apparaissent lorsque la peau est soumise à un étirement brutal et rapide, dépassant sa capacité d’adaptation. Elles se traduisent par des stries linéaires plus ou moins profondes, souvent visibles sur le ventre, les hanches, les cuisses, les fesses, ou encore les bras.
Un mécanisme biologique : la rupture des fibres de soutien
Pour comprendre l’origine des vergetures, il faut s’intéresser à la structure du derme, la couche intermédiaire de la peau. Celui-ci est composé en grande partie de fibres de collagène (qui assurent la résistance) et de fibres d’élastine (qui assurent la souplesse). Lors d’un étirement trop brutal ou prolongé, ces fibres peuvent se rompre ou se désorganiser, créant une lésion profonde sous la surface de la peau.
Le corps tente alors de réparer les dégâts, mais cette cicatrisation est imparfaite : les vergetures sont le résultat de cette réparation incomplète du tissu conjonctif, d’où leur aspect strié et leur texture différente.
Les principaux facteurs de risque
Certaines situations favorisent l’apparition des vergetures :
- Grossesse : L’étirement rapide de la peau au niveau du ventre et des seins, combiné à une forte stimulation hormonale (cortisol, œstrogènes), rend la peau plus vulnérable.
- Adolescence : Lors des pics de croissance, les muscles et les os se développent plus vite que la peau, provoquant des tensions.
- Prise ou perte de poids rapide : Un changement soudain du volume corporel peut provoquer une traction excessive sur la peau.
- Sport intensif : Certains athlètes, notamment en musculation, peuvent voir apparaître des vergetures à cause de la croissance rapide de la masse musculaire.
- Facteurs hormonaux et génétiques : Des taux élevés de cortisol (hormone du stress) peuvent altérer la production de collagène. La prédisposition génétique joue également un rôle : certaines peaux sont plus résistantes que d'autres.
Des couleurs qui évoluent dans le temps
Les vergetures passent généralement par trois stades d’évolution :
- Vergetures rouges : Elles sont récentes, encore inflammatoires. Leur couleur rougeâtre ou rosée est liée à la vascularisation locale. À ce stade, elles peuvent encore réagir favorablement à certaines interventions.
- Vergetures violettes : Elles deviennent plus foncées à mesure que l’inflammation régresse.
- Vergetures blanches : Avec le temps, elles se stabilisent, deviennent plus claires, nacrées et moins vascularisées. C’est à ce stade qu’elles sont les plus difficiles à estomper.
Pourquoi sont-elles si tenaces ?
Une fois installées, les vergetures blanches sont considérées comme des cicatrices atrophiques, ce qui signifie qu’elles résultent d’une perte irréversible de tissu dermique. Contrairement à une simple déshydratation ou à une ride liée à l’âge, aucune crème ou traitement ne peut régénérer totalement la structure initiale de la peau.
Cependant, il est possible de prévenir leur apparition ou d’améliorer visiblement leur apparence, notamment lorsqu’elles sont encore récentes. C’est ici que le collagène marin entre en jeu, en tant que soutien de la régénération cutanée.
Le collagène marin : origine, types et propriétés
Le collagène est une protéine structurale essentielle, représentant environ 30 % des protéines totales du corps humain et jusqu’à 75 % du poids sec de la peau. Avec l’âge, sa production naturelle diminue, entraînant une perte d’élasticité, de fermeté et une peau plus sujette aux marques — vergetures incluses. D’où l’intérêt croissant pour les compléments de collagène, en particulier sous forme marine.
Qu’est-ce que le collagène marin ?
Le collagène marin est extrait de la peau, des écailles ou des arêtes de poissons (comme la morue, le tilapia ou le saumon). Il s’agit d’une source durable, valorisant des coproduits de l’industrie de la pêche, et donc plus écologique que certaines alternatives animales. Ce collagène est souvent hydrolysé, c’est-à-dire fragmenté en peptides de collagène, de très petite taille, pour en améliorer la digestibilité et la biodisponibilité.
Son principal atout réside dans sa structure moléculaire proche de celle du collagène humain, ce qui facilite son assimilation par l’organisme.
Collagène bovin, porcin ou marin : quelles différences ?
Il existe plusieurs sources de collagène disponibles sur le marché :
- Collagène bovin : extrait du cuir ou des os de bovins, riche en collagène de type I et III. Bon marché, mais plus lourd à digérer.
- Collagène porcin : issu des peaux de porc, composition similaire au bovin. Moins utilisé pour des raisons religieuses ou culturelles.
- Collagène marin : plus pur, mieux absorbé par l’organisme (biodisponibilité supérieure jusqu’à 1,5 fois), et majoritairement composé de collagène de type I, celui qui prédomine dans la peau.
En plus de son efficacité supposée, le collagène marin est souvent mieux toléré, notamment par les personnes sensibles aux produits d’origine terrestre.
Les différents types de collagène et leurs rôles dans la peau
Il existe au moins 28 types de collagène, mais les plus importants pour la santé cutanée sont les suivants :
- Type I : c’est le plus abondant dans le corps (90 % du collagène total). Il est présent dans la peau, les tendons, les os et les ligaments. Il assure la résistance et la fermeté de la peau.
- Type II : principalement présent dans les cartilages. Il est surtout utilisé pour le confort articulaire.
- Type III : associé au type I dans la peau et les organes. Il apporte une certaine souplesse au tissu conjonctif.
La plupart des compléments pour la beauté de la peau se concentrent donc sur le type I, parfois associé au type III, mais rarement au type II (qui ne concerne pas la peau).
Pourquoi le type I est-il particulièrement utile pour la tonicité cutanée ?
Le collagène de type I est le principal constituant de la matrice extracellulaire du derme. Il forme un maillage solide, mais flexible, qui soutient l’épiderme comme une charpente naturelle. Lorsque cette charpente se détériore (avec l’âge ou lors d’un traumatisme comme l’apparition d’une vergeture), la peau devient moins dense, moins tonique et plus vulnérable aux déformations.
En renforçant la production ou le renouvellement du collagène de type I, on peut espérer :
- Améliorer l’élasticité de la peau,
- Prévenir la rupture des fibres lors des étirements,
- Et améliorer la réparation des tissus fragilisés par des vergetures récentes.
C’est donc ce type de collagène, d’origine marine et hydrolysée, qui présente le plus grand intérêt dans une démarche ciblée contre les vergetures.
Peut-on vraiment réduire les vergetures grâce au collagène marin ?
Le collagène marin suscite beaucoup d’espoir chez les personnes cherchant à atténuer leurs vergetures. Mais au-delà des promesses marketing, qu’est-ce qu’on peut réellement attendre de ce complément ? La réponse dépend de plusieurs facteurs, à commencer par le type de vergetures, la régularité de la cure, et l’âge de la peau.
Un vrai intérêt en prévention
L’un des atouts majeurs du collagène marin est son efficacité en amont, avant même l’apparition des vergetures. En renforçant la trame dermique, en améliorant l’élasticité et l’hydratation de la peau, il agit comme un bouclier interne qui rend la peau plus résistante aux étirements soudains.
C’est particulièrement pertinent pour les profils à risque :
- Femmes enceintes (avec accord médical)
- Adolescents en pleine croissance
- Sportifs en prise de masse
- Personnes anticipant une variation de poids
Une cure préventive de collagène marin, associée à une bonne hydratation et à des soins topiques nourrissants, peut ainsi réduire la probabilité d’apparition ou limiter la sévérité des vergetures.
Une amélioration visible sur les vergetures récentes
Concernant les vergetures déjà présentes, les résultats dépendent essentiellement de leur stade d’évolution :
- Sur les vergetures rouges ou violettes (récentes), le collagène marin peut atténuer visiblement leur apparence. En stimulant la régénération dermique, il favorise une réparation plus harmonieuse du tissu et peut contribuer à une réduction de la largeur, de la profondeur et de la pigmentation des stries.
- Sur les vergetures blanches (anciennes et cicatricielles), les résultats sont plus limités. Le collagène peut améliorer la texture de la peau et renforcer sa tonicité, mais il ne permet pas de supprimer complètement les marques.
Il faut donc être réaliste : le collagène ne fait pas disparaître les vergetures, mais il peut en réduire la visibilité et prévenir l’apparition de nouvelles.
Une durée de cure déterminante : minimum 3 à 6 mois
Le collagène agit en profondeur et son action n’est pas immédiate. Les études montrent que les premiers effets apparaissent généralement après 6 à 8 semaines, mais pour espérer un impact sur la structure dermique, il faut viser une cure continue de 3 à 6 mois, voire plus selon les cas.
Un apport quotidien de 5 à 10 grammes de peptides de collagène marin hydrolysé, idéalement accompagné de vitamine C, est recommandé pour maximiser les résultats.
Des résultats variables selon les profils
Les résultats obtenus varient d’une personne à l’autre, selon plusieurs facteurs :
- Âge : la peau jeune réagit généralement mieux.
- Qualité de la supplémentation : tous les collagènes ne se valent pas.
- Hygiène de vie : alimentation, stress, sommeil et exposition au soleil influencent directement la santé de la peau.
- Stade des vergetures : plus elles sont récentes, plus les chances d’amélioration sont grandes.
Chez certains utilisateurs, une amélioration notable de la texture et de la teinte est observée après 2 à 3 mois. Chez d’autres, l’évolution peut être plus subtile mais perceptible au toucher ou à la lumière rasante.
Témoignages et retours d’expérience
De nombreuses personnes ayant intégré le collagène marin dans leur routine témoignent de :
- Une peau plus dense et plus ferme, en particulier sur les zones sujettes aux vergetures (ventre, hanches, cuisses).
- Une diminution de l’aspect strié et une couleur moins marquée des vergetures récentes.
- Une sensation de peau "reconstruite" de l’intérieur, souvent accompagnée d’une meilleure hydratation.
Il faut néanmoins rappeler que les témoignages ne remplacent pas les preuves scientifiques, même s’ils confirment souvent ce que les études cliniques suggèrent : le collagène marin est un allié précieux, mais pas une solution miracle.
Compléments, alimentation ou soins topiques ?
Lorsqu’il s’agit de prendre soin de sa peau et d’agir sur les vergetures, de nombreuses personnes se tournent naturellement vers les crèmes, huiles ou sérums à appliquer directement sur les zones concernées. Mais qu’en est-il de l’approche interne via les compléments alimentaires ou l’alimentation ? Et surtout, quelle méthode est la plus efficace pour stimuler la régénération cutanée en profondeur ?
Pourquoi l’ingestion est plus efficace que l’application locale
Le collagène est une macromolécule de grande taille. Lorsqu’il est présent dans une crème ou un soin topique, il ne pénètre pas jusqu’au derme — la couche profonde de la peau où les vergetures prennent naissance. Il agit donc uniquement en surface, en formant un film protecteur qui peut améliorer l’hydratation et la texture, mais sans véritable action réparatrice en profondeur.
En revanche, lorsque le collagène est ingéré sous forme de peptides hydrolysés, il passe dans la circulation sanguine et peut atteindre les tissus conjonctifs, y compris ceux du derme. Des études ont montré que ces peptides stimulent les fibroblastes (les cellules du derme) à produire plus de collagène, d’élastine et d’acide hyaluronique, trois éléments essentiels à une peau souple, ferme et résistante.
En résumé :
- Application locale = effet superficiel, hydratant
- Ingestion = effet structurel, réparateur et préventif
Une vraie synergie entre nutrition et cosmétique
Cela ne signifie pas que les soins topiques sont inutiles. Bien au contraire : lorsqu’ils sont utilisés en complément d’une cure orale, ils créent une synergie bénéfique.
Par exemple :
- Les huiles végétales (rose musquée, argan, amande douce) renforcent la barrière cutanée et limitent la déshydratation.
- Les soins contenant du rétinol, des AHA ou de l’acide hyaluronique favorisent le renouvellement cellulaire en surface.
- Les massages réguliers stimulent la microcirculation, ce qui améliore la nutrition des tissus.
La clé réside donc dans une approche globale, interne et externe à la fois.
Les aliments naturellement riches en collagène ou en cofacteurs
Outre les compléments, certains aliments soutiennent naturellement la production de collagène endogène, ou apportent des nutriments essentiels à sa synthèse :
Aliments riches en collagène :
- Bouillons d’os (poulet, bœuf, poisson)
- Peau de poisson ou de volaille
- Gélatine naturelle (non sucrée)
Aliments riches en cofacteurs (indispensables à la synthèse du collagène) :
- Vitamine C : agrumes, kiwi, poivron, persil, brocoli
- Zinc : fruits de mer, œufs, graines de courge
- Silice : ortie, bambou, avoine, banane
- Soufre : ail, oignon, œufs
- Proline et glycine (acides aminés) : légumineuses, protéines animales, spiruline
Adopter une alimentation variée et anti-inflammatoire, riche en micronutriments, maximise l’impact d’une supplémentation en collagène.
Routine idéale pour favoriser la régénération cutanée
Pour optimiser les effets du collagène marin sur les vergetures, voici une routine globale à mettre en place :
Chaque matin
- Prendre 5 à 10 g de collagène marin hydrolysé à jeun ou avec un smoothie/protéine
- Ajouter une source de vitamine C naturelle (jus de citron, fruits rouges, acérola)
- Boire un grand verre d’eau pour l’hydratation
Chaque soir
- Appliquer une huile végétale ou une crème anti-vergetures sur les zones concernées
- Masser pendant 3 à 5 minutes pour activer la circulation
Chaque semaine
- Réaliser un gommage doux pour favoriser le renouvellement cellulaire
- Faire une cure d’ortie ou de bambou (infusion ou complément) pour le silicium
Sur le long terme
- Maintenir un poids stable
- Limiter les expositions excessives au soleil
- Dormir suffisamment et gérer le stress (qui altère la peau par voie hormonale)
Cette routine ne garantit pas une disparition totale des vergetures, mais elle crée les conditions optimales pour atténuer leur apparence et préserver la qualité de la peau sur le long terme.
Autres pistes naturelles pour améliorer les vergetures
Si le collagène marin peut jouer un rôle significatif dans la prévention et l’amélioration de l’aspect des vergetures, il ne constitue pas une solution unique. D’autres approches, souvent complémentaires, peuvent renforcer son action et favoriser la régénération de la peau.
Rétinol et acides de fruits (AHA)
Le rétinol, ou vitamine A, est l’un des actifs les plus étudiés pour ses effets sur la peau. Il favorise :
-
Le renouvellement cellulaire
-
La stimulation de la production de collagène
-
L’amélioration de la texture et de la pigmentation de la peau
En usage local, des crèmes au rétinol peuvent être efficaces sur les vergetures récentes (rouges ou violettes), en réduisant leur taille et leur intensité colorée.
Les AHA (acides glycolique, lactique, etc.) issus des fruits ont un effet exfoliant doux, qui accélère le renouvellement de la peau et lisse sa surface. Ils peuvent améliorer la pénétration d’autres actifs dans l’épiderme.
⚠️ À utiliser avec précaution : ces ingrédients sont puissants et peuvent provoquer des irritations. Ils ne conviennent pas aux peaux sensibles ou aux femmes enceintes (sauf avis médical).
Huiles végétales et extraits naturels
Certaines huiles sont reconnues pour leur action cicatrisante et régénérante :
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Huile de rose musquée : riche en acides gras essentiels, elle stimule la régénération des tissus et aide à estomper les marques.
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Beurre de karité : très nourrissant, il améliore la souplesse et la tonicité de la peau.
-
Gel d’aloe vera : apaise, hydrate et favorise la cicatrisation.
Appliquées quotidiennement avec massage, ces huiles améliorent visiblement l’élasticité de la peau et atténuent les vergetures, notamment en prévention.
Microneedling, LED, radiofréquence : que valent ces techniques ?
Certaines techniques non invasives offrent des résultats intéressants, notamment sur les vergetures anciennes :
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Microneedling : à l’aide de micro-aiguilles, il provoque une régénération naturelle du collagène. Les vergetures deviennent moins creusées et plus discrètes.
-
Luminothérapie LED : stimule les cellules de la peau par des longueurs d’ondes précises. Elle améliore la qualité de la peau et soutient les traitements topiques.
-
Radiofréquence : chauffe le derme en profondeur, stimulant la production de collagène et resserrant les fibres existantes.
Ces méthodes, souvent pratiquées en institut ou par des professionnels, sont à envisager en complément d’une stratégie globale.
L’importance de l’hydratation et du massage
Deux gestes simples, mais souvent négligés, peuvent faire toute la différence :
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Une hydratation régulière permet de maintenir la souplesse de la peau et de limiter les déchirures lors des étirements.
-
Les massages quotidiens (même manuels) stimulent la circulation sanguine et améliorent l’absorption des actifs cosmétiques. Ils peuvent également renforcer le lien entre la peau et les tissus sous-jacents.
Ce qu’il faut retenir
Les vergetures font partie des marques naturelles que la peau peut développer à certaines périodes de la vie. Elles ne sont ni une pathologie ni un signe de mauvaise santé, mais elles peuvent devenir une source d’inconfort esthétique.
Le collagène marin n’est pas une solution miracle, mais c’est un véritable soutien pour renforcer la peau de l’intérieur. Grâce à sa composition en type I, il aide à préserver l’élasticité, stimuler la régénération dermique et prévenir l’apparition de nouvelles vergetures.
Son efficacité est :
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Meilleure en prévention, ou sur des vergetures encore récentes (rouges, violettes)
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Renforcée par la régularité (3 à 6 mois minimum)
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Optimisée avec des cofacteurs comme la vitamine C, le zinc ou la silice
-
Plus forte dans une approche globale, combinant nutrition, soins topiques, hygiène de vie et éventuellement techniques esthétiques
Finalement, le soin de la peau repose sur une stratégie à long terme, où régularité, patience et synergie d’actions donnent les meilleurs résultats.
FAQ – Réduire les vergetures avec le collagène marin
Q1 : Le collagène peut-il faire disparaître complètement les vergetures ?
Non, aucune solution ne permet de les faire disparaître à 100 %, mais le collagène peut améliorer leur apparence.
Q2 : Collagène marin ou bovin, lequel est le meilleur pour la peau ?
Le collagène marin est généralement mieux absorbé et contient principalement du type I, idéal pour la peau.
Q3 : En combien de temps voit-on les résultats ?
Comptez au minimum 2 à 3 mois d’utilisation quotidienne, avec des résultats progressifs.
Q4 : Peut-on prendre du collagène pendant la grossesse pour éviter les vergetures ?
Il est essentiel de demander l’avis de votre professionnel de santé, même si le collagène marin est souvent bien toléré.
Q5 : Existe-t-il des effets secondaires ?
Chez les personnes sans allergie aux poissons, les effets secondaires sont rares. Des troubles digestifs mineurs peuvent survenir.